ils ont dit
Ils ont dit
« Les écrivains doivent accompagner les acteurs de la transition, participer à la sensibilisation du peuple, car l’écrivain a besoin de la paix pour écrire ». Zénab Koumanthio Diallo directrice musée du Fouta Djallon.
« Notre crise est avant tout une crise culturelle, morale » et « la démocratie n’est universelle que dans son fondement, dans sa mise en œuvre, elle doit tenir compte des réalités locales » Dr Gbanassé.
« Les écrivains (les aînés) doivent participer activement aux débats publics ». Alexandre Délamou jeune auteur.
« Le livre coûte 2 ou 3 fois le salaire du guinéen moyen », « la Guinée doit vivre avec le concours de chacun de ses fils », « Il y a des familles dont les membres se sont mutuellement dénoncés et qui sont tous partis au camp Boiro. Donc, il faut écrire l’histoire avec beaucoup de maîtrise, de retenue. » Jean Marie Doré premier ministre.
« L’importance du livre n’est plus à démonter sauf pour ceux qui ne veulent plus voir…nous avons besoin du livre comme le livre a besoin de nous. » Ary Sidibé Miss Guinée.