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1 novembre 2013

Parole libre par Camara Ousmane Tigaul Quelle appréciation faites-vous de l’introduction de la langue anglaise au collège dès

 

Mafoudia Sylla, TSS au GS La Farandole : C’est un pas en avant pour l’éducation Guinéenne, car de nos jours l’anglais est la langue dominante dans la communication internationale. Elle facilite l’emploi et la maîtrise de la nouvelle technologie. Mais je pense que le département n’a pas entièrement rempli les conditions qu’il faut pour que cette initiative aboutisse dans des meilleures conditions et que cela soit continuel. Il ne s’agit pas de proposer de bons projets sans pour autant faire un suivi-évaluation.

Kadiatou Bérété (Bachelière) : C’est une très bonne idée, surtout que l’anglais est l’une des matières essentielles au baccalauréat. Donc, cela permettra aux élèves d’êtres bien initiés avant d’arriver en terminale.

Goma Cherif élève en TSS au GS KK3 : Aujourd’hui, la langue anglaise occupe une place très importante dans le monde. Donc, cette décision est salutaire et mérite d’être encouragée et soutenue. Les élèves vont très vite apprendre à parler, à écrire et à lire l’anglais avant même le lycée.

Diallo Mamadou Tahirou (Bachelier) : C’est donc une aubaine qui s’offre à l’éducation guinéenne. Elle est à saisir pour que notre pays soit au rendez-vous universel. Surtout  ça permettra aux élèves de mieux se préparer au bac. « English language for developpement »

Momo Soumah licence 2 philosophie, UGLC de Sonfonia : L’introduction de la langue anglaise est quelque chose à apprécier parce que la langue anglaise est internationale. Les données de certains ordinateurs sont en anglais, beaucoup de pays parlent l’anglais, même en Guinée si tu es à la quête l’emploi, il faut savoir parler et écrire l’anglais.

Camara Abdoulaye diplômé en administration publique à UGLC (sonfonia) : L’introduction de la langue anglaise dans les écoles demeure un avantage, car cette langue est devenue  aujourd’hui incontournable dans tous les domaines. Aux autorités de mettre en place les moyens à la disposition des enseignants pour la réussite totale de cette mesure mais aussi aux élèves de la suivre avec dévouement et engouement.

Ismaël sadjo Diallo licence 2 sociologie centre universitaire de Kindia (CUK) : La langue anglaise dès la 7ème année, est une chose à encourager puisqu’elle est plus valeureuse que la langue française. Il est bon d’avoir des cadres compétents dans cette matière, dans notre pays et je demande au ministre d’élargir cette initiative à l’enseignement primaire.

Touré Mamadou Aliou licence 3 : C’est une bonne initiative dans la mesure où les enfants pourront être bien formés dans la langue anglaise. En somme retenons pour être une personne moderne, il faut comprendre l’anglais.

Mamadou Saidou Diallo, licence 2 Sociologie au CUK : Bien que l’initiative arrive un peu tard, je crois que c’est une bonne chose pour les apprenants guinéens car la langue anglaise à une bonne place dans les institutions sous-régionale et internationales.

Doussou Doumbouya, licence 2 Banque finance UGLC Sonfonia : On dit souvent qui apprend à parler, à lire et à écrire la langue anglaise, ne sera jamais au chômage.

Diallo Thierno Ismaïla : L’anglais est l’une des clefs de l’emploi. Il faut la commencer à bas âge, si nous prenons l’exemple du français, il ya des étudiants qui ne peuvent pas s’exprimer, même si on dit l’anglais est plus facile à comprendre mais le mieux c’est de le commencer à temps.

Barry Abdoulaye bachelier : L’anglais est la langue d’affaire et la plupart des grandes puissances parlent cette langue. Ce qui était déplorable, c’est seulement au lycée on apprenait cette langue. Les lycéens n’ont pas eu une notion de base donc, il faut remonter jusqu’en 7ème année car c’est au collège que les élèves commencent à apprendre les nouvelles matières. J’espère qu’avec cette nouvelle stratégie les futurs bacheliers n’auront pas assez de problèmes en anglais.

Saoromou Bertrand, TSS au lycée 28septembre (Kindia) : La quasi-totalité des élèves pourront maintenant être bilingues et avoir une bonne notion de base pour dialoguer avec leurs amis anglophones.

Nouhan Keïta, archiviste à l’université de Kankan : C’est un ouf de soulagement pour les élèves, et c’est qui devrait être fait depuis belle lurette. L’absence de l’anglais au collège causait du tord aux élèves des salles d’examens. Certains  parmi eux n’ont vu l’anglais qu’au lycée.

Bah Mariam diplômé en finance comptabilité à ISIM-UNT : L’apprentissage de la langue anglaise est beaucoup facile en 7ème qu’en 11ème année. Au lycée, les élèves n’avaient que 3ans, mais désormais avec sept ans d’étude, je pense qu’ils auront une notion de base.

Barry Marlyatou, licence 2 marketing à Mercure : Les trois ans d’étude de l’anglais au lycée causaient d’énorme difficulté aux élèves, car la compréhension était difficile. Il fallait donc s’habituer petit à petit pour retenir un peu. Par ailleurs, il reste à savoir si on pourra relever le défi, quand on sait que même avec le français les élèves et étudiants ont des limites aussi bien à l’écrit qu’à l’oral.

Hawa Bahirate, licence 2 économie à ISIM-INT : Quand on voit cette langue enseignée dès la 7ème année, on ne peut que se frotter les mais tout en espérant que les ayants droits relèveront le défi.

Aboubacar Stam Soumah, UGLC Sonfonia : Il faudra mettre l’accent sur les difficultés pour relever ces défi dont entre autres le manque criard de professeurs, le faible niveau des enseignants, les difficultés pour les élèves ayant dépassés la 7ème année, car ils n’ont aucune expérience. Les 300 professeurs d’anglais recrutés déjà sont très peu pour les milliers d’élèves guinéens.

Sékouba Condé bachelier : La Guinée est l’un des rares pays où la langue anglaise n’est pas mieux parlée. C’est une occasion que les élèves doivent saisir pour en faire un crédo et ils ne doivent ménager aucun effort pour la bonne maîtrise de cette langue. Les autorités doivent veiller à ce que ces cours ne soient pas bâclés.

Diallo Ousmane, licence 3 Sociologie CUK : La plupart des échecs au bac est dû à la non maîtrise de l’anglais. Son instauration dans les institutions d’enseignements supérieurs, dans toutes facultés et départements confondus serait aussi un avantage pour notre système éducatif.

Thème du mois prochain !

Quelle analyse faites-vous du retour au baccalauréat des  épreuves de mathématique en science sociale et celle de philosophie en science mathématique et expérimentale?

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